Plazac

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Plazac
Plazac
Le village de Plazac.
Blason de Plazac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Florence Gauthier
2020-2026
Code postal 24580
Code commune 24330
Démographie
Population
municipale
703 hab. (2021 en augmentation de 1,15 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 10″ nord, 1° 02′ 17″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 289 m
Superficie 33,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Homme
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Plazac
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Plazac
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Plazac
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Plazac
Liens
Site web http://plazac.fr/

Plazac est une commune française située en Périgord noir dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

À l'est du département de la Dordogne, la commune de Plazac se trouve en partie nord-ouest du Périgord noir. Proche de la vallée de la Vézère, elle est arrosée par un petit affluent de la Vézère, le Vimont.

En rive gauche du Vimont et traversé par la route départementale 6, le bourg de Plazac se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Montignac-Lascaux et douze kilomètres au sud-sud-ouest de Thenon.

La commune est également desservie au sud-est par la route départementale 45. Au nord, le territoire communal est traversé ou bordé sur environ dix kilomètres par le sentier de grande randonnée GR 36.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Plazac et des communes avoisinantes.

Plazac est limitrophe de cinq autres communes. À l'est, son territoire est éloigné d'environ 450 mètres de celui de Thonac.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Plazac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3b-c, date du Coniacien moyen à supérieur, composée de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 783 - Thenon » et « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Plazac.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le sentier de grande randonnée GR 36 près d'Escoffie.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 82 mètres[6] au sud, à côté du château du Peuch, là où le Vimont quitte la commune pour entrer sur celle de Fleurac, et 289 mètres[6] à l'ouest, en limite de la commune de Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 33,77 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 34,4 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Vimont et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[15],[Carte 1].

Le Vimont, d'une longueur totale de 12,67 km, prend sa source à Bars et se jette dans la Vézère en rive droite, en limite de Tursac et de Peyzac-le-Moustier[16],[17]. Il traverse la commune du nord au sud sur près de six kilomètres, dont un kilomètre et demi sert de limite naturelle à Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central ». La première est caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours). La seconde présente une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 945 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 12 km à vol d'oiseau[23], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Plazac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[27],[28],[29]. La commune est en outre hors attraction des villes[30],[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,8 %), prairies (17,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), terres arables (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Plazac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Plazac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Plazac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 51,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[40].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999 et 2008, par la sécheresse en 1989, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[33].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Plazac vient d'un nom de personnage gallo-roman Plasius ou latin Platius suivi du suffixe -acum, indiquant le « domaine de Plasius ou de Platius »[41],[42].

En occitan, le nom de la commune s'écrit Plasac[43].

Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[44].

Histoire[modifier | modifier le code]

Plaque située à Plazac, commémorative des réfugiés de Bootzheim.

La première mention connue du village remonte à 1169 sous la forme « Plazat ». Trois siècles plus tard, le château est identifié en latin comme Fortalitium de Plazaco[41].

En 1939, des habitants du village alsacien de Bootzheim ont trouvé refuge à Plazac.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune de Plazac a, dès 1790, été rattachée au canton de Rouffignac qui dépendait du district de Montignac.

En 1800, le canton de Rouffignac est supprimé et la commune est rattachée au canton de Montignac dépendant de l'arrondissement de Sarlat renommé en arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

En 2002, elle intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée de la Vézère. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes de la Vallée de l'Homme.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[45],[46].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs[47]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1791 1794 Jean Lafarge    
1794 1796 Pierre Larmandie    
1796 1799 Jean Lafarge    
1799 1800 François Dufaure    
1800 1805 Jean Cubellie Larigaudie    
1805 janvier 1814 Bernard Dalbavie-Laborie    
janvier 1814 1840 Jean Debord Laudonie[Note 5]    
février 1840 1848 François Fayard   Notaire
février 1848 janvier 1856 Pierre Tibeyrant[Note 5]   Chirurgien major
février 1856 septembre 1870 Paul Armand-Laroche    
septembre 1870 octobre 1870 Debord Laudonie    
octobre 1870 1871 Jean Dupont    
1871 1879 Léonard Paul Armand-Laroche    
1879 mai 1888 Jean Dupont    
mai 1888 1893 Edgard d'Argy    
août 1893 1900 Marc Armand-Laroche    
1900 1935 Jacques Hippolyte de Molènes   Conseiller général
mai 1935 mai 1953 Élie Léonard    
mai 1953 mars 1977 Pierre Lamothe    
mars 1977 août 1989 Maurice Estardier[Note 5]    
septembre 1989 mai 1992 Christian Pharizin    
mai 1992 avril 2014 Robert Delbary PS[48] Agriculteur en retraite
avril 2014[49]
(réélue en mai 2020[50])
En cours Florence Gauthier   Infirmière

Jumelages[modifier | modifier le code]

Panneau de jumelage avec Bootzheim.

Drapeau de la France Bootzheim (France) (Bas-Rhin).

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2013, Plazac est organisée en regroupement pédagogique intercommunal[51] (RPI) avec les communes de Peyzac-le-Moustier et Saint-Léon-sur-Vézère au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune se charge des classes de cours élémentaire et de cours moyen. La maternelle et le cours préparatoire ont lieu à Saint-Léon-sur-Vézère.

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Plazac relève[52] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[54].

En 2021, la commune comptait 703 habitants[Note 6], en augmentation de 1,15 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5801 4151 4671 6911 6211 6941 6451 6371 723
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7261 6361 6381 5861 5241 4131 5231 3891 415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1791 1571 064809798761690626603
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
522424427502543577686703699
2021 - - - - - - - -
703--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • De 2003 à 2012, festival Mixi-Thé chaque année en janvier, manifestations sur le thème du thé[56]. Il n'a pas été reconduit en 2013[57].
  • Festival Più di Voce en Périgord, chaque année durant la deuxième quinzaine de juillet depuis 2006, festival professionnel d'art lyrique[58].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 281 personnes, soit 40,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinquante-trois) a augmenté par rapport à 2010 (quarante-cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 18,8 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 131 établissements[60], dont 81 au niveau des commerces, transports ou services, quinze dans la construction, quinze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quinze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et cinq dans l'industrie[61].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

À l'extrême limite sud-est du territoire communal, la Côte de Jord, coteau calcaire ensoleillé en rive droite de la Vézère, est un site protégé pour sa flore aussi bien en tant que zone Natura 2000[67] que comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I[68],[69].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Plazac Blason
Coupé, au premier de gueules parti à l'église fortifiée d'or ouverte du champ et aux trois lions couronnés de même et rangés en bande, au deuxième d'azur à deux fûts de canon en sautoir accompagnés d'une fleur de lys et d'une crosse épiscopale, le tout d'or.
Détails
Officiel, blason présent sur le site internet de la commune[71].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. a b et c Décédé en fonctions.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Plazac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. « Carte géologique de Plazac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Plazac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Plazac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Plazac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Confluence Vimont-Vézère au sud-ouest du Moustier » sur Géoportail (consulté le 30 août 2022)..
  17. Sandre, « le Vimont »
  18. « SAGE Vézère-Corrèze », sur gesteau.fr (consulté le ).
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  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
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